Ci dessous les CR du dernier CPM attribué pour une excellente raison à Renaud pour mauvaise foi et insolence…
Fin de la CASIM 78, vive la CASIM omnipotente !
Hé oui, il faut le savoir notre bien-aimé président, élu à la majorité absolu, a l’autorité totale en CPM. Vous comprendrez comment j’ai obtenu le droit de rédiger ce CR en fin d’article ou comment superBMW a mis une pile à KKTM (oui j’assume ce jeu de mot).
Bref, dimanche matin réveil (trop tôt, mais c’est pour la bonne cause) et direction l’aérodrome de Cergy et sa fameuse piste d’auto-école que si tu sais pas où elle est, bah… bon courage pour la trouver. On a le soleil, mais où sont les nanas ? La seule présente était perdu dans les confins de l’aéroport. 9H30, euh 10h tout le monde est là on peut commencer le planning de la journée, et là on sent comme une tension : c’est la préparation pour les visas !! Les questions fusent et certains sont déjà tendus à deux semaines de l’échéance. Attention comme disent les monos la pression on se la met pas, on les descend après l’exam.
Toutouyoutou pour le réveil des muscles et des articulations. Installations de pas moins de 4 ateliers sur une seule piste. Comme quoi on est habitué au luxe de Gennevilliers. Un Chevalier solitaire (dont je tairai le nom) fini par arriver »légèrement » en retard, mais non il n’a pas le CR. Matinée très dense : Slalom rapide avec demi-tour, Huit, slalom lent avec demi-tour et maniabilité au ralenti avec des barres de fer (pas si super), qui aura donné du fil à retordre à plus d’un casimir et fait suer quelques litres. Tout le monde est bien concentré et super motivé pour s’améliorer en cette matinée agréable, même si certains prétextent un embrayage qui chauffe pour faire des pauses (Deutschpassiqualitatqueça).
Pause déj : option pique-nique à l’ombre des bosquets dans l’herbe fraîche ou Flunch parce qu’il y a des légumes (au final ils sont revenus du roi du burger). L’après-midi commence par la mise en place du gymkhana sous un soleil de plomb et à base de : Eh ils sont les cônes ?? Pendant que d’autres font des courses de lenteur au point de patinage mais sans triple axel et autre boucle-piquée. Repérage de l’enchaînement de ce gymkhana : escargot, slalom serré, porte de slalom lent entre les piquets, huit, planche artificielle, rond, évitement, freinage ! Ouf ça y est on a tout compris.
El »Tyranos » président chevauche sa belle orange pour un chrono de référence, puis un second pour faire ça bien et que les stagiaires puissent se situer par rapport au chef. Chacun se donne à fond pour faire de son mieux, réussir le parcours sans toucher, déplacer, poser le pied etc… et réussir, accessoirement, le meilleur temps. Je crois que l’ensemble des casimirs s’est amélioré au fil de l’après-midi et on a vu les bénéfices de l’entraînement et de la répétition.Derrière cela un plan machiavélique se mettait en place (si on donnait le CR au plus rapide). Eh oui certains stagiaires et même monos on quelque peu battu le temps de référence. S’en est suivi l’idée qu’il y avait compétition pour le meilleur temps et débordement de testostérone, alors que chacun essayait de faire de son mieux. N’est-ce pas l’essence même de la Casim ? C’est vrai que j’ai fait deux bons chronos, mais à chaque fois il y a eu un petit déplacement de cône. Je décide donc de faire un troisième passage et là, enfin, le trajet parfait et avec le meilleur temps. Du coup, j’hérite du CR car on ne doit pas doubler le chef, et ça le fait beaucoup rire. A moins que ce ne soit à cause de la suprématie des allemandes sur l’autrichienne.
Fin de journée, on peut rentrer se reposer et/ou aller boire un petit coup en terrasse. Heureusement que le chef connaît les bonnes adresses.
Merci à tous les participants et les encadrants pour cette excellente journée d’entrainement.