On vous propose de découvrir en première live la nouvelle vidéo de la CASIM 78.
Ce coup ci, ce n’est pas un Moto Tuto, on vous propose une balade en Espagne sur route et dans les chemins avec quelques moniteurs de la Casim 78, on vous attend nombreux ce mercredi en ligne.
En espérant que cela vous plaise et que cela ramène un peu de soleil et de chaleur en ce début de saison froide.
Ce dimanche à eu lieu une balade de la CASIM 78, un rapide CR proposé ci dessous par Luc:
Le dimanche 7 novembre le réveil sonne à 7h00 avec un belle balade en perspective.
Le rendez-vous est à 9h00 au LIDL d’Arpajon.
Arnauld et sa food-moto nous apportent le café.
Les groupes se forment en fonction du niveau.
J’ai choisi le groupe le plus tranquille pour mon rodage. 9h30 Départ de notre groupe de 5 casimirs + 2 casi-moniteurs
Au bout de 15 km tout notre groupe a droit à un contrôle alcoolémie.
La matinée se poursuit à travers bois et champs.
Le midi, petite halte au casi-macdo de Nemours.
Et c’est reparti pour une promenade.
J’ai été faire un tour à coté de la route, là ou il y a des trous avec de la terre, et le RT c’est pas un GS
Ceci dit, ce qui m’a sauvé c’est d’avoir appliqué l’enseignement des casi-moniteurs, à savoir regarder au loin et non sa roue avant sous peine de partir au tas et nous voilà revenus au point de départ vers 16h30, après 260 km
Merci à Jean pour le road-book.
Merci à Cécile pour sa patience (même si elle parle beaucoup)
Merci à Luc pour ton retour sur cette journée, merci aux encadrants d’avoir géré cette journée et bravo à l’ensemble des adhérents d’avoir bravé la fraicheur de cette journée.
Ci dessous la journée CASIM du 24 octobre vécu par Stéphane:
Pour ma deuxième journée CASIM je suis très motivé car j’ai déjà beaucoup profité de la première qui était celle de l’accueil et ou l’on a en fait assez peu roulé donc j’en attend beaucoup n’ayant jamais fait de maniabilité. Faut savoir que j’ai passé mon permis en Belgique il y a 20 ans ou le plateau se limitait à savoir embrayer accélérer freiner et slalomer. La plupart des cours se déroulaient en circulation.
La météo promet d’être radieuse mais pourtant au fur et à mesure que j’approche des Essarts le Roi la température baisse de plus en plus jusqu’à fleurter avec les 5 degrés.
Arrivé sur place l’ambiance est déjà au top et je retrouve mes copains de la première journée.
Mise en jambe avec une petite séances d’échauffement articulaire et musculaire qui ne fut pas inutile malgré sa simplicité.
C’est parti avec la partie maniabilité pour les nuls ( pour le nul pardon ). Position de la tête et du regard sont le leitmotiv des moniteurs secondés par « jouer de l’embrayage et du gaz ». Ça tombe mal j’ai une Honda DCT embrayage automatique. Mais en passant d’exercice en exercice je fini par commencer à mieux maîtriser le regard et surtout à prendre un peu de vitesse et de confiance. L’exercice du 8 est je pense le plus intéressant car il mélange en continu virage à gauche et virage à droite et impose un changement de position sur la moto très rapide lors du croisement. Même pas tombé !!
Reste plus qu’à trouvé un coin tranquille pour bosser ça tout seul.
Déjeuner classique chez l’écossais de Californie puis retour au terrain pour le CPM Virage.
Ce fut l’occasion de (re)découvrir cette partie de la vallée de Chevreuse qui présente à première vue peu d’intérêt car les virages sont fermés et aveugles, à l’ombre, gras et embouteillés. Impossible de prendre un peu de vitesse pour « trajecter ». Il m’a fallu quelques aller-retour pour comprendre que en fait c’est justement dans ce genre virage que l’intérêt de pratiquer la trajectoire de sécurité est le plus profitable. Sans cette précaution qui consiste à attendre le plus tard possible en ligne droite à l’extérieur de virage pour visualiser le plus possible la sortie ou la fin du virage nous aurions pu être surpris par deux usagers deux roues qui prenaient beaucoup de place sur la route ( normal à deux ils prenaient autant de place qu’un semi)
Fin de journée très agréable retour au terrain sous le soleil.
En conclusion une très belle journée encore très instructive.
Merci à tout les bénévoles qui rendent ce genre de journée possible.
Merci à Stéphane pour avoir rédigé ce CR, merci à tous les encadrants qui se sont rendu dispo pour cette journée (clin d’œil à Patoche qui est venu nous voir et nous a aider à l’encadrement de ce CPM), merci et bravo à l’ensemble des stagiaires.
Ci dessous le CR de cette journée telle que la vécu Steve:
Deuxième journée organisé par la CASIM en ce dimanche 10 octobre. Ca faisait longtemps, que je n’avais pas vu la CASIM, vu que perso, j’avais manqué la journée de reprise. Malheureusement, malgré un bon réveil, et un temps de route correct, tout est parti en vrille une fois à Gennevilliers. Impossible de retrouver l’endroit, la faute à un truc bizarre dans les mails…. Bref, j’arrive en retard avec un autre acolyte, ce qui me vaudra de faire le CR en ce moment même. J’ai joué et j’ai perdu, snif…
La journée démarre avec l’atelier freinage. Ha oui, pour ceux qui étaient à l’heure, il y a eu la gym du matin et surement un petit dej… Donc je reprend, l’atelier freinage. Je l’avais déjà fait l’an dernier, mais c’est toujours bien de revoir. C’est en forgeant qu’on devient forgeron, et bien là, je pourrais dire que c’est en freinant… Qu’on devient bon freineur.
Les exercices servent a appréhender les deux freins de sa machine. On se rend vite compte que le frein arrière est plus ou moins un ralentisseur et que le frein avant est le frein principal. En combinant les deux, on obtient un freinage digne de ce nom. Il convient d’y ajouter la posture, le regard, toujours droit devant soi, et tout se passe bien. Ensuite les ateliers de poursuite sont également toujours un bon moyen de se rendre que le temps de réaction peut être long et donc « fatal » lorsque l’on dépasse celui que l’on est sensé suivre. Il faut toujours essayer d’être vigilant et d’avoir une vision périphérique.
A la fin de ces ateliers, la pause déjeuner tombe à pic. Après un burger king et un quelques fou rires à table, retour sur le site pour la partie maniabilité.
Le soleil était au rendez-vous et c’est par un bel après midi qu’on reprend place sur la piste. Je passe l’atelier équilibre de la machine. Mais rapidement pour les curieux, cela démontre qu’une fois le point d’équilibre trouvé, il est possible de tenir une moto à deux doigts. Il y a toujours une certaine appréhension (zut, si je l’a fait tomber) mais c’est bluffant quand on y arrive. Et donc à partir de là, on peut faire le tour de son véhicule.
Ensuite, est venu la course de lenteur. Là s’était cool. Contrairement à l’an dernier, tout le monde a pu s’affronter. Ce n’était pas par petites groupes, ce qui ajoute une dose de fun. On a toujours envie de mettre la pâté au copain d’à côté… Bon pas de bol, je suis sorti parmi les premiers. C’est un acolyte en BMW GS qui a gagné… Elle est truquée cette moto, je vous le dit moi.
Après ça, exercice de parking de moto. Là… ben va falloir qu’on bosse encore un peu. Après une démo des moniteurs, s’était notre tour. Mais mon acolyte retardataire du matin n’a pas bien gérer « bouh !!! » oui je balance. Donc on a recommencer, mais s’était mieux. Et on fera encore mieux la prochaine fois en terme de temps et de gestion de l’espace.
Ensuite le Caroussel. S’était le truc qui m’avait vraiment fait peur l’an dernier. Mais là, j’étais beaucoup, mais beaucoup plus serein. Je savais que je l’avais réussi donc No Stress.
Et cette fois-ci, j’ai pu faire toute les figures, à l’exception de celle où il faut s’asseoir sur le réservoir… Mais bon je suis sur un custom. Quelle idée de rouler en custom on pourrait dire… Je réfléchis encore.
Et pour finir les parcours de cônes que j’attendais avec impatience, histoire de voir si j’avais progressé…. Ben va falloir encore bosser. Pour ça que je me dit des fois, c’est toujours bien de revoir les bases. OK on fera pas du cônes dans la rue, mais se dire que tu gères ta moto dans des situations où tu dois te faufiler (interfile, interfile…) c’est très rassurant. Je vois ces cones comme un defi et je retenterai ma chance encore la prochaine fois.
Voilà, la journée touche à sa fin et il est temps de se rentrer. Bisous sur le casque comme dirais un célèbre journaliste et a bientôt la CASIM. Gaaaz direction Home sweet home.
Merci à Steve pour son CR, à l’ensemble des encadrants présents pour l’animation des ateliers et l’ensemble des participants de la CASIM pour votre sourire et bonnehumeur.
Nous sommes déjà à la fin de la saison et nous n’avons pas pu organiser une seule balade de l’année, du fait de la situation sanitaire. Notre seul fait d’armes a été de pouvoir organiser un week-end touristique. Mais pour les tours de moto dans les environs, rien, nada, nicht, que dalle.
C’est donc chose réparée avec un des plus longs tracés, de ceux que nous proposons pour les fins d’années, une fois que tout le monde est aguerri. Pour sûr, il y a du kilomètre à engloutir sur cette journée : 380 au total, au départ d’Osny avec un retour prévu à L’Isle-Adam.
La météo n’est pas la plus engageante pour un début de mois de juillet, nous savons que nous aurons de la pluie au cours de la journée, mais aucune idée de savoir si ça sera du permanent ou quelques averses bien localisées. Tout du moins c’est sec quand nous nous retrouvons à Osny et comme nous le répéterons à l’envie
« Tout kilomètre sur le sec est un kilomètre de gagné »
Initialement, nous avions prévu quatre groupe pour un peu moins de vingt-cinq participants, une bonne solution pour former des groupes de petite taille et garder la balade agréable autant pour les adhérents que les encadrants. Cependant vu que nous avons rencontré quelques désistements de dernière minute, plus quelques-uns qui ont du oublier leur kway sur la route et on préféré faire demi-tour, nous avons choisi de former trois groupes selon la répartition classique des tranquille-modérés-dynamiques.
9h30, les premiers groupes s’élancent et atteignent Lyons La Forêt. pour une première (plutôt longue) pause. En effet, la ville met les petits plats dans les grands pour les motos et leurs pilotes en aménageant une zone dédiée à quelques minutes de marche du centre, avec consigne des casques pour éviter de tout emporter avec soi. Plutôt malin.
Pause à Lyons La Forêt
Le temps de la pause café, et nous voilà repartis vers le Tréport. Nous essuyons notre premier « grain » de pluie, une zone de pluie intense, mais très localisée, 5 minutes pour être trempés et quelques kilomètres de plus pour retrouver du bitume sec. Dans le groupe modéré, quelques différences de GPS nous font prendre quelques kilomètres supplémentaires. Il n’est pas loin de 14h quand nous parvenons à Criel-sur-Mer, où, merci l’heure d’arrivée tardive, des tables pour les restaurants de la ville se sont libérés. Et tous les groupes se retrouvent au même endroit.
Le temps d’un repas et d’une photo de groupe d’un plein d’essence pour les motos les plus assoiffées, nous reprenons la route vers la Forêt d’Eu. Le temps est plus menaçant, et nous nous mettons à jouer à cache-cache avec le nuage. Finalement, c’est aux abords d’Aumale que celui-ci nous cueille. Nous poursuivons malgré tout et atteignons le second point de chute à Gerberoy. Cependant, il n’y a plus grand monde et il est déjà 18h. Les GPS indiquent une heure d’arrivée à l’Isle-Adam au delà de 20h. Aussi, nous convenons d’annuler tout le reste de l’itinéraire et rentrer directement à Osny. Les autres groupes feront également des adaptations d’itinéraires pour écourter une balade déjà bien longue et gérer la fatigue de tout le monde. Seul le groupe dynamique est allé jusqu’au bout en coupant un peu. Mais bon, l’objectif était atteint, aller voir la mer, et ne pas revenir trop trempé non plus.
Nous remercions les participants à cette balade et vous souhaitons de bonnes vacances. Merci à Arnauld, Bertrand et Vincent pour les photos.